Inter : Le poids des attentes et les conséquences à venir

Le poids des défaites

Cinquante-neuf matchs plus tard. Cinquante-neuf matchs et rien à montrer. Cinquante-neuf matchs avec au moins trois autres à jouer lors de la Coupe du Monde des Clubs, sans compter les devoirs internationaux. Pas de vacances. Pas d’évasion. Football, football, football. Un football sans fin. Les corps des joueurs de l’Inter doivent palpiter et souffrir. Les kilomètres au compteur atteignent des limites alarmantes.

Les vétérans sous pression

Le temps pèse sur certains vétérans, comme Yann Sommer, Henrikh Mkhitaryan, Francesco Acerbi et Matteo Darmian. La physiothérapie aide, les blessures guérissent, et la douleur physique s’estompe. Mais l’angoisse mentale — les rediffusions de regrets jouant dans leur tête…

« Le coût de la poursuite d’un rêve est parfois un cauchemar récurrent. »

Une finale déséquilibrée

Certains joueurs de l’Inter se sont effondrés au sol après la défaite 5-0 contre le Paris Saint-Germain lors de la finale de la Ligue des Champions. Federico Dimarco, un fervent supporter de l’Inter, observait depuis le banc sans vraiment voir quoi que ce soit. C’était humiliant. Lorsque Senny Mayulu a marqué le cinquième but, le PSG a mis en lumière l’âge avancé de cette équipe vieillissante de l’Inter.

Un tournant dans l’histoire

Deux ans après avoir défié les attentes à Istanbul, l’Inter s’est trouvée, avec déception, du mauvais côté de cette finale. Ils étaient méconnaissables par rapport à leur niveau habituel. La journée avait commencé par la triste annonce du décès d’Ernesto Pellegrini, ancien propriétaire de l’Inter dans les années 80.

« Les exploits de Gigio Donnarumma… n’étaient pas nécessaires. »

Un avenir incertain

Malgré les réussites passées, cette défaite a laissé des cicatrices. La question se pose : que va-t-il se passer maintenant ? Les propriétaires de l’Inter souhaitent rajeunir l’équipe. Beppe Marotta doit prendre des décisions clés. La reconstruction est-elle en vue ou l’Inter continuera-t-elle à stagner?

« Cinquante-neuf matchs et le travail ne fait que commencer. Le football avance sans relâche. Mais comment l’Inter ? »